dimanche 30 novembre 2014

mercredi 26 novembre 2014

Hurluberlu aime pet...

Le Monde est petit !...


Je buvais mon petit noir quotidien au Café des Cévennes, quand mon regard a été attiré par une pile d'affiches posées sur la table d'à côté, où un couple consommait également.

Devant l'insistance de mon regard, la demoiselle (dame ?) me dit :

- Si ça vous intéresse vous pouvez en prendre une...

et le dialogue suivant s'instaure :

- Vous savez que c'est un de mes dessins ?
- Nooooon !!!!
- Si ! Je dois avoir le dessin original réalisé pour une affiche du Bourilhou dans mes archives
- Ça alors !... C'est incroyable !!!!... On cherchait un dessin d'accordéoniste. On a trouvé ça sur Internet !!!! Ça ne vous dérange pas qu'on ait utilisé votre dessin ?
- Non ! Ça me fait même plaisir !... Je me suis fait une raison ! Quand on publie sur Le NET, il faut s'attendre à être "réutilisé" !... Donnez-moi votre @mail et je vous envoie le dessin original et l'affiche à mon retour à la maison...

Ce qui fut fait !

 Le dessin original (crayon et fusain)

 L'affiche réalisée après retraitement du dessin sur l'ordinateur avec PhotoShop

ll y avait une chance sur des millions pour que cette rencontre se fasse, et quelle se fasse au Vigan, où l'affiche a été réalisée. Elle s'est faite !!!  Je ne cache pas que je suis un peu ému.

Comme disait Mao dans son Petit Livre Rouge : "Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas... et encore en y mettant du sien"...

R*B            

Post scriptum : Je constate quand même que le dessin pris sur le NET a été trafiqué par rapport au mien. Le gars a une belle tête d'apache avec la cibiche au bec. Mon accordéoniste était plus souriant !

mardi 25 novembre 2014

Les Restos 2014 !...

Y'a comme un bug !...

vendredi 21 novembre 2014

On l'a échappé belle !....


La France à la découpe !...

jeudi 20 novembre 2014

Cuvée "Mi mandat"...

Vénus callipyge ou Vénus qu'a des piges ?

Pitié pour les vieux travailleurs intermitents !...

mardi 18 novembre 2014

Jeux de mains jeux de vilains...

Jeux de pieds jeux de friqués !..



Baby relax...

lundi 17 novembre 2014

What ! Ears low ?...

dimanche 16 novembre 2014

De quoi Renauder !...

samedi 15 novembre 2014

Quand gourou !?...

jeudi 13 novembre 2014

Mission impôts cible...

Gland'art sur les remparts...

mardi 11 novembre 2014

En avant la mouise hic !...

lundi 10 novembre 2014

Interview de mi mandale !....

Ich bin eine border liner !...

Joyeux Triste anniversaire !.... 25 ans déjà, mais dans le monde entier l’intelligence de l’Homme fait toujours des merveilles et la Connerie perdure et s’intensifie !

lundi 3 novembre 2014

Je me souviens...


samedi 1 novembre 2014

Ballot win !?

1er novembre - La Ballade des cimetières (G. Brassens)

J'ai des tombeaux en abondance,
Des sépultur's à discrétion,
Dans tout cim'tièr' d' quelque importance
J'ai ma petite concession.
De l'humble terre au mausolée,
Avec toujours quelqu'un dedans,
J'ai des p'tit's boss's plein les allées,
Et je suis triste, cependant...
Car j' n'en ai pas, et ça m'agace,
Et ça défrise mon blason,
Au cimetièr' du Montparnasse,
A quatre pas de ma maison. (bis)

J'en possède au Père-Lachaise,
A Bagneux, à Thiais, à Pantin,
Et jusque, ne vous en déplaise,
Au fond du cimetièr' marin,
A la vil' comm' à la campagne,
Partout où l'on peut faire un trou,
J'ai mêm' des tombeaux en Espagne
Qu'on me jalouse peu ou prou...
Mais j' n'en ai pas la moindre trace,
Le plus humble petit soupçon,
Au cimetièr' du Montparnasse,
A quatre pas de ma maison. (bis)

Le jour des morts, je cours, je vole,
Je vais, infatigablement,
De nécropole en nécropole,
De pierr' tombale en monument.
On m'entrevoit sous un' couronne
D'immortelles à Champerret,
Un peu plus tard, c'est à Charonne
Qu'on m'aperçoit sous un cyprès...
Mais, seul, un fourbe aura l'audace
De dir' "J' l'ai vu à l'horizon
Du cimetièr' du Montparnasse,
A quatre pas de sa maison". (bis)

Devant l' château de ma grand-tante
La marquise de Carabas,
Ma saint' famille languit d'attente :
Mourra-t-ell', mourra-t-elle pas ?
L'un veut son or, l'autre ses meubles,
Qui ses bijoux, qui ses bib'lots,
Qui ses forêts, qui ses immeubles,
Qui ses tapis, qui ses tableaux...
Moi je n'implore qu'une grâce,
C'est qu'ell' pass' la morte-saison
Au cimetièr' du Montparnasse,
A quatre pas de ma maison. (bis)

Ainsi chantait, la mort dans l'âme,
Un jeun' homm' de bonne tenue,
En train de ranimer la flamme
Du soldat qui lui était connu,
Or, il advint qu' le ciel eut marr' de
L'entendre parler d' ses caveaux.
Et Dieu fit signe à la camarde
De l'expédier ru’ Froidevaux...
Mais les croqu'-morts, qui’ étaient de Chartre’,
Funeste erreur de livraison,
Menèr'nt sa dépouille à Montparnasse,
De l'autr' côté de sa maison. (bis)